Ébène et Ivoire...
Stevie Wonder, de son vrai nom Stevland Hardaway Morris (mais né en vérité Stevland Hardaway Judkins) est un auteur-compositeur-interprète américain, dont la particularité, hormis le fait qu’il soit aveugle de naissance, est qu’il démarre sa carrière artistique en signant un premier contrat dans une filiale de la Motown dès l’âge de 11 ans !
Il peut se vanter également d’avoir à son compteur plus d’une trentaine de Top10 version US et d’avoir reçu à ce jour pas moins de 25 Grammy Awards. Faisant de lui l’un des plus titrés à ce jour si ce n’est le plus titré ! Sans compter les 100 millions de disques vendus à travers le monde…
C’est le fait d’être né 6 semaines avant terme qui va causer sa cessité. En effet, le trop plein d’oxygène dans la couveuse va déclencher chez lui une rétinopathie précoce qui va lui faire perdre la vue.
Il fait ses premiers pas en tant qu’artiste dès le plus jeune âge, en créant avec un copain le duo Stevie & John. Duo qui se produit dans les rues, mais également dans les soirées.
C’est en 1961 qu’il est remarqué par Ronnie White des Miracles, lequel l’emmène passer une audition à la Motown. Le jeune garçon est signé immédiatement par le label Tamla, filiale de la Motown. Et c’est le producteur Clarence Paul qui va lui donner son premier nom de scène à savoir Little Stevie Wonder. Compte tenu de son très jeune âge, le label lui fait un contrat spécifique qui prévoit que tout l’argent récolté par le jeune artiste sera mis de côté jusqu’à ses 21 ans et qu’on doit lui adjoindre un tuteur pour chaque prestation scénique.
On le fait travailler sur un premier album de reprises de standards de Ray Charles, « Tribute to Uncle ray ». Dans lequel sera inclus « Sunset », une des premières compositions du prodige. Un autre album suit dans la foulée « The jazz soul of little Stevie », nettement plus instrumental que son prédécesseur.
C’est en 1962 que les choses s’accélèrent lorsque sort son premier single « I call it pretty music but the old pepople call it the blues ». Suivi de peu de « Little water boy ». Malheureusement, les 2 albums, comme les 2 singles, ne rencontreront qu’un maigre succès.
Tout va changer à partir de 1963 lorsqu’il intègre la tournée Chitlin’ circuit. Tournée qui va lui permettre de se faire particulièrement remarquer en produisant une performance scénique de haut vol en mai 1963. Puis de sortir la même année le single « Fingertips », single qui va faire un véritable carton et lancer pour de bon la carrière du tout jeune artiste.
La suite va s’avérer plus compliquée avec un Stevie qui mute au niveau voix, ce qui a pour conséquence un désintérêt croissant du public à son égard. Au point que la Motown pense à le congédier. C’est Sylvia Moy, compositrice et productrice, qui sauve sa tête, lui conseille de retirer le surnom de Little et travaille avec lui à la réalisation du titre « Uptight (Everything alright) ». Titre qui va lui permettre de renouer avec le succès.
Retour du succès qui lui permet de prendre ‘du galon’ au sein de la Motown. Au point de commencer à composer pour les autres, notamment pour Smokey Robinson. Il connaîtra d’autres succès d’envergure en fin de décennie avec des titres comme « Blowin’ in the wind », « A place in the sun », « I was made to lover her », « For once in my life » mais aussi et surtout avec le single « Yester-Me, Yester-You, Yesteraday » qui va devenir son tout premier méga hit planétaire. Single extrait de l’album « My cherie d’amour » qui va devenir, lui aussi, un succès mondial.
Le début de la décennie 70 le voit se marier. Il n’a encore que 20 ans. Dans le même temps, ses aspirations à vouloir parler des problèmes de société prennent de plus en plus de place dans ses chansons.
Trois nouveaux albums voient le jour, « Signed, sealed & delivered » en 1970, « Where I’m coming from » en 1971 et enfin « Music of my mind » en 1972. Le succès est au rendez-vous mais pour l’instant, il reste limité.
Tout va soudainement prendre une autre dimension quand sort l’album « Talking book » fin 72. L’album obtient un succès immense, notamment grâce à 2 titres phares ques sont « Superstition » et « You are the sunshine of my life ». Les singles sont d’énormes succès planétaires, ce qui a pour conséquence de hisser l’artiste à un niveau de popularité jamais atteinte jusqu’alors. Une popularité qu’il accroit encore lors la tournée qu’il effectue en compagnie des Rolling Stones.
L’album « Innervisions » qui sort un plus tard en 1973 connait lui aussi un succès notoire mais sans pour autant produire de singles d’exception comme son prédécesseur. « Higher ground » et « Living for the city » en seront les principaux extraits. L’artiste est victime d’un très grave accident de voiture la même année qui va le plonger pendant 4 jours dans le coma.
Rapidement remis sur pieds, l’artiste sort l’album « Fulfillingness’ first finale » un an plus tard en 1974, qui, malgré des scores très élevés, peinera à donner des titres hors normes, hormis « You haven’t done nothin ».
L’artiste franchit un nouveau palier vers la gloire lorsque sort en 1976 l’album « Songs in the key of life ». L’album va réaliser des scores de ventes hallucinants et reste à ce jour l’un de ses albums parmi les plus vendus. Et ce malgré une réalisation qui va déconcerter plus d’un fan. « I wish » qui sort la même année et « Sir Duke » qui sort un an plus tard en 1977 en seront les singles phare. Et dans une moindre mesure « Isn’t she lovely ? » en hommage à sa fille Aisha et « Another star ».
La fin de décennie n’apportera pas grand-chose de plus hormis le single « Send one your love », sorti en 1979 et extrait d’une compilation de titres de jeunesse remis au goût du jour.
La décennie 70 l’aura révéler, la décennie 80 va le voir littéralement exploser. En commençant par la sortie de l’album « Hotter than July » durant l’année 1980. Son 1er album certifié Platine aux Etats-Unis et qui va produire pas moins de 4 mégas hits planétaires que sont « I ain’t gonna stand for it », « Lately », « Happy birthday » (spécialement écrite pour promouvoir l’anniversaire de Martin Luther King) mais aussi, et surtout, l’ENORMISSIME « Master blaster (Jammin’) ». Titre phare qui va devenir l’un des plus gros standards des années 80.
Il ressort de nouveau d’anciens morceaux durant l’année 1982 à travers l’album « The original Musiquarium I ». Les singles « That girl » et surtout « Do I do » en seront les principaux succès et pas des moindres. Une année 82 remarquable qui le voit chanter en duo avec Paul McCartney sur le titre « Ebony and Ivory », un hymne à la tolérance entre les races. Titre qui va devenir son plus gros succès version single depuis le début de sa carrière.
Petit trou d’air en 1983 et retour de façon fracassante en 1984 avec l’album BO du film « The woman in red » de Gene Wilder, album phare qui va devenir le plus gros succès de toute sa carrière côté album, notamment grâce au single phare « I just called to say I love you ». Un titre qui va se payer le luxe de truster les premières places de la plupart des Charts de la planète et qui reste à ce jour le plus gros succès de sa carrière côté single, détronant « Ebony and Ivory ».
Nouveaux succès d’anthologie l’année suivante en 1985 lorsque sort l’album « In square circle ». Cette fois-ci, c’est le single « Part-Time lover » qui va offrir à l’artiste un succès quasi équivalent à « I just caled to say I love you ». L’artiste marche littéralement sur l’eau en cette moitié de décennie 80 et tout ce qu’il touche se transforme en or. La preuve une nouvelle fois lorsqu’il participe au titre évènement « That’s what friends are for » qu’il interprète notamment avec Dionne Warwick. Le titre fait lui aussi un carton planétaire.
Mais aussi paradoxal que cela puisse paraitre, la 2ème partie de décennie va se révéler beaucoup plus décevante et les scores de ventes n’auront plus rien à voir avec les précédents.
L’album « Characters » qui sort en 1987 montre un début de désaffection de la part du public. Les singles « Skeletons » et « You will know » connaitront encore des niveaux de succès planétaires mais le déclin est en marche, c’est évident.
En 1988, les duo de luxe, l’un avec Michael Jackson sur « Get it » et l’autre avec Julio Iglesias sur « My love », ne changeront rien à la donne malheureusement.
La décennie 90 ne permettra pas non plus d’inverser la tendance. L’artiste réalisera en 1991 une nouvelle BO, cette fois-ci pour le film Jungle Feverde Spike Lee. BO qui connaîtra un joli succès.
Son dernier album d’envergure de la décennie sortira en 1995. « Conversation place » produira son dernier hit notoire, à savoir « For your love ». La carrière de l’artiste ne s’arretera pas là pour autant mais ne produira plus jamais de hits à la hauteur de ceux produits durant la décennie 80.
Une carrière longue de plus de 40 ans et qui aura laissé dans l’histoire une multitude de joyaux musicaux à faire pâlir la plupart des autres artistes de sa génération et des générations suivantes !
A découvrir ou redécouvrir.
Discographie (entre autres...) :
- Fingertips 1963
- Hey harmonica man 1964
- Hi-Heel sneakers 1965
- Uptight (everything alright) 1965
- Blowin’ in the wind 1966
- A place in the sun 1966
- I was made to love her 1967
- I’m wondering 1967
- You met your match 1968
- For once in my life 1968
- I don’t know why 1969
- My Cherie amour 1969
- Yester-me, Yester-you, Yesterday 1969
- Never had a dream come true 1970
- Signed, Sealed, Delivered I'm yours 1970
- If you really love me 1971
- Superstition 1972
- You are the sunshine of my life 1973
- Higher ground 1973
- Living for the city 1973
- You haven't done nothin' 1974
- I wish 1976
- Isn't she lovely ? 1976
- Sir Duke 1977
- Another star 1977
- As 1977
- Send one your love 1979
- Master blaster 1980
- I ain’t gonna stand for it 1980
- Lately 1981
- Happy birthday 1981
- That girl 1982
- Ebony and ivory 1982
- Do I do 1982
- I just called to say I love you 1984
- Love light in flight 1984
- Part-time lover 1985
- That’s what friends are for 1985
- Go home 1985
- Overjoyed 1986
- Skeletons 1987
- Get it 1988
- My love 1988
- Free 1989
- Keep our love alive 1990
- Gotta have you 1991
- For your love 1995
- How come, how long 1997
- True to your heart 1998
- Finish line 2022
- Can we fix our nation's broken heart 2024
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Stevie Wonder, whose real name is Stevland Hardaway Morris (but actually born Stevland Hardaway Judkins) is an American singer-songwriter, whose particularity, apart from being blind from birth, is
English Version
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CLIPS
1963...les premières images de celui qui va devenir l'une des plus grandes légendes vivantes de cette fin de XXième siècle...
1964...la voix est encore particulièrement juvénile mais le style si particulier qui sera le sien est déjà en place...
1965...une montée en puissance lente mais certaine. Et toujours sur des rythmes particulièrement enjoués. Une joie de vivre évidente !
1965...une joie de vivre qu'on retrouve une nouvelle fois sur ce dernier titre de l'année 1965 et qui montre tout l'étendue du talent d'un futur très Grand
1966...puis le jeune garçon commence sa mutation. Et atteint un premier pallier de reconnaissance planétaire. Le rouleau compresseur est désormais en marche et rien, ni personne, ne pourra l'arrêter
1966...une année 1966 décidément exceptionnelle où les tops hits planétaires se succèdent à une vitesse impressionnante...
1967...son premier titre emblématique. Toutes les bases sont désormais en place pour que la légende puisse démarrer...
1967...une suite un cran en-dessous. Il est évident que le talent hors norme à ses limites et que chaque titre sorti ne peut pas non plus rentrer directement au Panthéon musical de cette fin de XXième siècle...
1968...année après année, titre après titre, le chanteur gagne en maîtrise, c'est évident. Des années 60 préparatoires à un méga feu d'artifice la décennie suivante. Et la décennie d'après également... Et celle d'après aussi !
1968...une année 1968 qui se finit en beauté avec ce nouveau top hit planétaire. Chaque année désormais lui offre au moins une fois l'occasion de briller au niveau planétaire
1969...1966 fut un grand Cru, 1969 va en être un autre. En commençant par ce titre qui lance une année qui va se révéler somptueuse
1969...nouveau top hit planétaire. Le style "Wonder" qui va faire sa légende est de plus en plus en place et commence à faire titre de très gros calibre sur titre de très gros calibre
1969...une année qui se finit en apothéose avec son 1er méga hit planétaire. Une entrée fracassante dans la Cour des Grands qui le met dans les meilleures dispositions pour la décennie suivante
1970...on repart quasiment sur les mêmes bases que fin 1969. Chaque titre devient quasiment un événement à lui tout seul
1970...on retrouve le style typique de ce début 70 qui ne permet pas forcément à l'artiste de produire le meilleur de lui-même. Il va falloir attendre quelques années pour voir arriver l'exceptionnel...
1971...il y a succès, c'est certain mais il manque le grain de génie qui différencie de la masse et fait d'un titre une œuvre exceptionnellement exceptionnelle
1972...et l'exceptionnellement exceptionnel, le voilà ! Il signe ici un titre tout simplement oufissime qui restera comme de ses plus emblématiques et qui propulse sa carrière dans des niveaux jusque là jamais atteint. La légende est en marche !
1973...l'exceptionnel succède à l'exceptionnel. Désormais, c'est une déferlante de méga hits wonderien qui va s’abattre sur toute la planète. Et ce pour des années ! ENOR-MI-SSIME !
1973...un style unique en son genre, à l'inspiration venu d'une autre dimension et qui permet à l'artiste de briller d'une façon incroyable !
1973...une année qui se termine comme elle a commencé, c'est à dire en beauté. Certes, ce hit là sera le moins prestigieux mais du 'petit' hit comme ça, bon nombre d'autres artistes s'en contenteraient
1974...un statut de 'Très Grand' qui se confirme une nouvelle fois de façon éclatante. Les tops hits se succèdent les uns après les autres de façon incroyable...
1976...deux années à venir qui font faire gravir un nouveau sommet à l'artiste. Il ne va pas tarder à tutoyer les étoiles !
1976...aussi paradoxale que cela puisse paraître, ce titre ne sera pas l'un de ses mieux classés. Et pourtant, c'est incontestablement l'un de ses plus emblématiques. Étonnant non... MA-GIS-TRAL !
1977...et que dire de celui-là ! Morceau d'exception après morceau d'exception, l'artiste confirme une nouvelle fois qu'il est vraiment l'un des plus gros phénomènes du moment
1977...et ça continue. L'artiste a atteint un niveau d'inspiration incroyable qui le place très au-dessus de la concurrence. Maître du monde !
1977..."Songs in the key of life", album d’exception qui va produire 5 titres décidément incroyables. Quand le génie est à son maximum !
1979...puis quasiment plus rien en 1978 et 1979. Hormis ce titre magnifique dans lequel on retrouve un Stevie Wonder qui sort quelque peu de son registre habituel. Un titre Intimiste qui montre qu'il excelle vraiment dans tous les domaines !
1980...la décennie 60 l'aura révélé, la décennie 70 l'aura vu exploser, la décennie 80 va le faire rentrer définitivement dans la légende comme l'un des plus grands artistes de tous les temps, rien que ça. CUL-TI-SSIME !
1980...une décennie 80 qui redémarre sur les chapeaux de roue et qui ne va pas le démoder, bien au contraire !
1981...il signe ici un nouveau titre Intimiste de toute beauté. Il alterne de plus en plus le dansant avec l'apaisé et ça fonctionne parfaitement
1981...encore une de ses chansons parmi les plus emblématiques. Un titre tout simple devenu aujourd'hui une référence planétaire pour célébrer certains anniversaires un peu hors norme...
1982...on aurait pu penser que la décennie 80 allait le ringardiser et qu'il serait irrémédiablement relégué à jouer les seconds rôles. Que néni, c'est tout le contraire qui se produit !
1982...le choc des Titans ! Quand la légende rencontre la légende. Les 2 génies signent ici tout simplement l'un des plus gros titres de la décennie et de cette fin de XXième siècle tout court
1982...incontestablement l'un des plus gros hits Dance de de ce début de décennie. Une inspiration qui se renouvelle sans cesse et qui s'adapte à merveille à chaque époque traversée. U-NI-QUE !
1984...exceptionnellement, pas grand chose en 1983. Ce qui n'est pas le cas de l'année suivante car voici venir...son Chef d'Oeuvre. Le plus gros succès de toute sa discographie, un titre oufissime qui sera classé N° 1 dans quasiment tous les Charts de la planète. Qui dit mieux ? Bah personne...
1984...comment rivaliser avec le morceau précédent ? Quasiment impossible. Et pourtant, ce titre-là n'est pas dépourvu de qualité, c'est certain...
1985...et voici venir son 2ème plus gros hit. Si, si, c'est possible, il n'avait pas encore tout donné. Il signe ici un nouveau titre Dance oufissime qui restera une nouvelle fois comme l'un des plus emblématiques de la décennie
1985...une des plus belles brochettes d'artistes d'exception du moment, de la décennie et de cette fin de XXième siècle tout court. Et le résultat est forcément exceptionnel, que dire de plus. Savourer ce moment, tout simplement !
1985...les Crus d'exception, on ne les compte même plus tant il en aura produit. 1985 en fera partie avec ce 3ème titre une nouvelle fois de très gros calibre
1986...1986 sera-t-elle l'année de trop et celle qui le verra décliner ? Et non, toujours au top le Stevie. I-NA-RRE-TABLE !
1987...il est vrai que la fin 80 ne va pas vraiment ressembler à son début. Le niveau de succès de l'artiste va commencer à décliner, chose quasi inévitable à un moment donné...
1988...nouveau duo de légende. Autant le premier avait marqué l'histoire musicale des années 80, autant le second va se révéler quelque peu décevant. Incroyable vu le gabarit des 2 artistes...comme quoi !
1988...il aura beau tout essayer, quand ça ne veut pas, ça ne veut pas. Malgré ce nouveau partenaire de très gros calibre, le classement dans les Charts ne sera pas une nouvelle fois à la hauteur de leur talent respectif
1989...encore un de ses titres parmi les plus emblématiques. Et qui pourtant, lui aussi, ne connaîtra qu'un succès somme toute mitigé...par rapport à ce qu'a connu l'artiste les années passées
1990...il aura traversé la décennie 60, puis la décennie 70, puis la décennie 80 et le voici arrivé dans la décennie 90. Une longévité exceptionnelle pour un artiste qui ne l'est pas moins. Car il le vaut bien !
1991...le voici reparti de plus belle en cette nouvelle décennie. Et il s'adapte, comme toujours. Nouvelle époque, nouveau son !
1995...gros trou d'air de 4 ans, une première pour lui. Mais son talent n'en est absolument pas altéré, la preuve avec ce nouveau titre qui lui permet de retrouver le sommet des Charts. Retour gagnant !
1997...nouveau trou d'air en 1996. C'est ce duo qui va lui permettre d'effectuer un nouveau retour en force l'année suivante en 1997. Un duo avec la jeune génération qui fonctionne parfaitement et qui montre qu'il est toujours 'tendance'
1998...son dernier hit de la décennie. Certes, il n'a plus son niveau d'inspiration d'antan mais quand on voit la longévité de sa carrière et surtout l'extrême qualité de cette dernière, on ne peut que célébrer ce talent absolument hors norme et qui restera comme l'un des plus incroyables de cette fin de XXième siècle
2022...
2024...
Stevie Wonder, né Stevland Hardaway Judkins le à Saginaw, Michigan, est un auteur-compositeur-interprète afro-américain. Aveugle depuis sa petite enfance, il a l'une des carrières les plus ...
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